Droit de parole : les adorateurs du chocolat au lait ont la parole sur dieucafé

Bonjour.
Je ne vous cache pas que j'ai mis un certain temps à me décider à écrire cette lettre à votre encontre.
Je lis avec assiduité vos articles, suis votre actualité et me suis même surprise à lire vos textes de lois et notamment quelques passages de la Bible Kawa.


Mais je reste cependant consternée et révoltée face à cet extrémisme radical dont vous faite preuve à l'encontre des consommateurs d'autres produits dérivés ou non du café.
Je ne comprend pas cet engouement que vous avez à dénigrer les buveurs de chocolat au lait dont je fait partie, de dénoncer ouvertement à la banque de France les trafiquants de thé, de publier sur vos comptes twitter ou sur ce site une liste de consommateurs d'Omovaltine dans le but d'inciter les internautes à les dénoncer au fisc.

Pourquoi tant de haine ?

Nous sommes dans un pays démocratique, où nous avons le droit de consommer ce que bon nous semble et d'avoir une pensée propre, un libre arbitre et un droit fondamental de ne pas être soumis à quelque dictature que ce soit.
Et nous parlons bien ici de dictature puisque vous interdisez à vos membres de consommer autre chose que du café.
Vous les obligez même à vénérer et idolâtrer un unique Dieu, qui ne jure que par le café pur extrême et parfois serré.

Je fais personnellement partie de l'ancien fan club de Grosquick, héro légendaire qui bataillait à une époque, avant de finir au chômage à animer à mi-temps des foires dans les supermarché discount, pour la joie, la bonne humeur, la fraternité et le chocolat en poudre.
Le message était tout aussi biblique et prestigieux sans pour autant être sectaire et réformateur.

A une époque où le chocolat au lait était le meilleurs compagnon des petits déjeuners, le café quand à lui n'a jamais été dénigré au travers de  campagnes discriminatoires comme les vôtres et le lobby de la chocolaterie n'a jamais eue recours à des actes terroristes en tous genres comme vous les programmez si souvent,  dans le but soit disant de défendre les valeurs de votre sacré Saint café brut.

Nicole, Paris

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